
Rester collé aux indicateurs de performance… ou voir plus loin ?
Les indicateurs défilent sur nos écrans, nous rassurent, nous orientent. Mais à force de les fixer, ne risquons-nous pas de perdre de vue l’essentiel ?
Les angles morts d’une lecture trop étroite
Quand le pilotage devient une obsession chiffrée, certaines réalités passent sous le radar :
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Le climat social : Des tensions invisibles dans les graphiques.
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L’engagement des équipes : Difficilement quantifiable, mais essentiel pour avancer.
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La capacité d’adaptation : Un indicateur qui ne se mesure pas en pourcentage, mais qui fait toute la différence en période de crise.
Pour sortir de cette gestion aveugle, il devient crucial de repenser le pilotage.
Pour éviter ces angles morts : un pilotage augmenté
Pour capter l’invisible, le pilotage doit s’enrichir d’un regard plus large, porté par l’intelligence collective :
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Aller sur le terrain, écouter les ressentis.
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Détecter les dynamiques humaines.
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Capter les signaux faibles lors des échanges informels.
Conclusion : Lever les yeux des écrans, regarder l’horizon
Piloter par les indicateurs, c’est essentiel. Mais piloter par le sens, l’engagement et l’écoute, c’est ce qui permet de voir plus loin. Mieux encore, c’est ce qui permet de ne plus avancer les yeux bandés.


